1.06.2010

Philip Roth. Duas emoções.

«Pendant que dehors New York s'agite, que les jeunes écrivains rêvent d'être lui et que les moins jeunes le jalousent, Roth signe son livre le plus triste et le plus désespéré, Exit le fantôme, et en fini avec son alter ego de fiction, l'écrivain Nathan Zuckerman. La maladie, la vieillesse et la mort. Et l'amertume de ne pas savoir su saisir sa vie quand elle ne demandait qu'à être vécue.
Roth, c'est l'anti-Zuckerman. Exit le fantôme n'est peut-être pas son meilleur texte, mais c'est un de ses romans le plus interéssants, les plus forts. Une leçon de vie, en négatif. Quand on lui demande ce qu'il pense de la vie qu'il a eue, il nous dit que dans l'existence, on ne maîtrise rien, tout est question de hasard ou de chance...»
[Nelly Kaprièlian, Les Inrockuptibles, 23.12.09]























«As grandes figuras do internacionalismo literário têm todo o caminho aberto: quem é que, fora dos EUA, se vai aplicar a dizer que, por exemplo, os livros de Philip Roth são desde há muito tempo bastante medíocres, se tudo está preparado para fazer de mais uma tradução de um livro seu um grande acontecimento literário?»
[António Guerreiro, Expresso, 31.12.09]




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